Semaine 45 – Luxure

Depuis le temps qu’on l’attendait ce péché là et bien il a fini par arriver…. Pour cette 45ème semaine nous aurons donc à traiter de la LUXURE… Pfiou déjà que ce n’est pas si facile…. en plus il tombe pile la semaine où  je m’absente ! On avait beau être prévenue… J’ai quand même attendu le dernier moment !!  J’ai donc 48 heures pour traiter le sujet et programmer  mon article 😦

Vous vous doutez bien que Google a été mon ami…. je suis allée faire un peu de lecture… et voilà ce que j’ai trouvé… Déjà pour commencer, ATTENTION ne  confondons pas ces deux noms proches par la forme mais éloignés par le sens.

• Luxation = déplacement des deux extrémités osseuses d’une articulation. Une luxation de l’épaule avec déchirure ligamentaire. Terme de médecine.
• Luxure = recherche sans retenue des plaisirs de l’amour physique. «  Tout travaille à doubler son extase, et le libertin y arrive au milieu des épisodes les plus bizarres de la luxure et de la dépravation  » (Sade). Registre soutenu. Toujours de lui : « Il n’y a point de passion plus égoïste que celle de la luxure. »

La perception de la Luxure

• Dans la mythologie grecque, Aphrodite, est la déesse de la luxure. Elle est vue comme le plaisir de la chair. Par ailleurs, elle connait de nombreuses relations extra-conjugales, notamment avec Arès avec qui elle eut plusieurs enfants.
• Au Moyen-âge, la Luxure était considérée comme le plus grave des péchés par la religion chrétienne, alors qu’elle était clairement vue comme positive durant l’antiquité. En effet, à cette époque étaient organisées des fêtes religieuses, comme les Bacchanales où avaient lieu des actes luxurieux. On peut aussi citer le Kâmasûtra et l’hédonisme, courant philosophique en perpétuelle quête du plaisir.
• Au 18ème siècle apparait le libertinage, faisant référence à des pratiques sexuelles sans morale (voir en groupe).
• De nos jours, bien que certaines aventures sexuelles avant le mariage rentrent dans les moeurs (cas du concubinage), d’autres pratiques telles que l’échangisme ou le voyeurisme peuvent encore paraître immorales et malsaines.

Ben rien appris de neuf…. mais finalement Aphrodite m’a donné un p’tit coup de main… le rapport ??? C’est que j’ai fait le lien avec la représentation d’une statue et il se trouve que chez moi j’ai dans mes affaires, non pas une statue d’Aprhodite, mais un modelage d’Eugène JOUANNO. Dans un temps assez ancien je fréquentais l’atelier des Beaux-Arts, j’allais à la Papoterie et Eugène, plasticien de métier, enseignait également à l’atelier. Une année, alors qu’il préparait une expo sur la femme, j’ai réussi à lui soustraire un des nombreux « culs » qu’il avait réalisé… et c’est lui qui m’a servi de modèle aujourd’hui…

vu de dos, un joli fessier avec un joli rebond que j’adore caresser :

Photo 1

Photo 2 – F/8 – 1/20 s – 70 mm – Iso 1600

vu de face, le bas ventre.. que je vous présente d’abord nu… il s’agit de la même photo, mais avec un cadrage différent à la retouche… (je n’ai pas su choisir !)

Photo 3

Photo 4

Puis paré d’un ornement (un collier) qui laisse deviner ce qu’il cache, un peu dans l’esprit des costumes de danseuses du ventre, et inciter davantage le « spectateur » au péché …

Photo 5

Photo 6

Mais le comble de la luxure reste pour moi ces petites annonces, comme celle-ci qui m’avait servi pour illustrer le thème « Recherche » dans le PP52 de 211, certains d’entre vous s’en rappelleront certainement !

Photo 7 – F/6.3 – 1/160 s – 126 mm – Iso 1600

OK déjà vue , mais pour les péchés il est permis d’aller chercher dans ses archives 😉 Bonne fin de semaine.